La Rage en politique...
C'était un 13 septembre 2010, à l'Assemblée Nationale. Ce jour-là l'honorable Rosine VIEYRA SOGLO dénonçait avec indignation les menaces d'un certain Monsieur, qui voulait mettre le Bénin à feu et à sang.
« …Dans ma maison, Assis devant moi, devant mon mari, et je pense ce jour- là qu’il a totalement perdu le sens, il a disjoncté. Il a dit : « Je vais vous cogner ». Il a dit ça quatre fois : « Les députés vous, je vais vous cogner». Il a terminé en disant « Je vais mettre le pays à feu et à sang ». Il l’a dit, je le jure sur Dieu. Il n’était pas seul, Il y avait le ministre d’Etat ... qui était là. Il y avait le ministre de l’économie et des finances qui était là. Il y avait mon mari qui était là. Il y avait mon fils Léhady qui était là. Le ministre Galiou était là aussi.
Je lui ai dit « Vous allez cognez qui ? Quelle est {mosgoogle}cette façon de parler de mon pays ? Nous l’avons élu et c’est comme ça qu’il nous traite, qu’il va mettre le pays à feu et à sang et qu’il va marcher sur nous les députés. Mais qu’il essaie de nous cogner. Personne ne m’a jamais cogné, c’est moi qui vais le cogner. Et je vais le matraquer. Je le lui ai dis. Je vais lui faire une publicité. Je vais même commencer en France et dire qu’il ne respecte pas la Nation, qu’il ne respecte pas la population béninoise. Il n’a pas à dire qu’il va cogner les députés, il n’a pas à dire qu’il va mettre le pays à feu et à sang. Il peut aller cogner sur ceux qu’il a fait élire, les cauris et les Fcbe. Il ne m’a pas fait élire, ni la majorité ici. Alors qu’il prenne garde ! Que le président Boni Yayi prenne garde ! Moi Rosine Vieyra Soglo, aveugle, je lui dis ça aujourd’hui ! Qu’il prenne garde ! Il paraît que les gens disparaissent. … ».
Nous n'avons pas le droit d'oublier d'où nous venons.
CERICAD.
C'était un 13 septembre 2010, à l'Assemblée Nationale. Ce jour-là l'honorable Rosine VIEYRA SOGLO dénonçait avec indignation les menaces d'un certain Monsieur, qui voulait mettre le Bénin à feu et à sang.
« …Dans ma maison, Assis devant moi, devant mon mari, et je pense ce jour- là qu’il a totalement perdu le sens, il a disjoncté. Il a dit : « Je vais vous cogner ». Il a dit ça quatre fois : « Les députés vous, je vais vous cogner». Il a terminé en disant « Je vais mettre le pays à feu et à sang ». Il l’a dit, je le jure sur Dieu. Il n’était pas seul, Il y avait le ministre d’Etat ... qui était là. Il y avait le ministre de l’économie et des finances qui était là. Il y avait mon mari qui était là. Il y avait mon fils Léhady qui était là. Le ministre Galiou était là aussi.
Je lui ai dit « Vous allez cognez qui ? Quelle est {mosgoogle}cette façon de parler de mon pays ? Nous l’avons élu et c’est comme ça qu’il nous traite, qu’il va mettre le pays à feu et à sang et qu’il va marcher sur nous les députés. Mais qu’il essaie de nous cogner. Personne ne m’a jamais cogné, c’est moi qui vais le cogner. Et je vais le matraquer. Je le lui ai dis. Je vais lui faire une publicité. Je vais même commencer en France et dire qu’il ne respecte pas la Nation, qu’il ne respecte pas la population béninoise. Il n’a pas à dire qu’il va cogner les députés, il n’a pas à dire qu’il va mettre le pays à feu et à sang. Il peut aller cogner sur ceux qu’il a fait élire, les cauris et les Fcbe. Il ne m’a pas fait élire, ni la majorité ici. Alors qu’il prenne garde ! Que le président Boni Yayi prenne garde ! Moi Rosine Vieyra Soglo, aveugle, je lui dis ça aujourd’hui ! Qu’il prenne garde ! Il paraît que les gens disparaissent. … ».
Nous n'avons pas le droit d'oublier d'où nous venons.
CERICAD.
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