<<Nos salaires ou personne ne travaille à la mairie aujourd’hui.>> Ce fut le slogan des policiers municipaux de Cotonou, le lundi 10 septembre 2012, qui, à la faveur d'un sit-in s'étaient insurgés contre le non paiement de leurs salaires depuis 19 mois. Empêchant non seulement la tenue de la cérémonie des couleurs mais aussi toute entrée dans l'enceinte de la mairie, ils dénonçaient au surplus, le mépris des autorités communales et les promesses sans suite.
En réaction à ce mouvement d'humeur, le 12 septembre 2012, les sieurs Flavien Clédjo et Jean-Marc da Costa, respectivement Directeur de la Police municipale et Directeur des ressources humaines à la Mairie de Cotonou ont donné une conférence de presse au cours de laquelle ils ont brandit d'éventuelles sanctions à l'encontre de ces policiers. Dénonçant un trouble à l'ordre public, un acte d'insubordination, un mouvement non autorisé et injustifié, ils ont martelé que « Les policiers municipaux ont franchi le rubicond, ils subiront les rigueurs de la loi ».
On aura tout vu à la Marie de Cotonou.
CERICAD
En réaction à ce mouvement d'humeur, le 12 septembre 2012, les sieurs Flavien Clédjo et Jean-Marc da Costa, respectivement Directeur de la Police municipale et Directeur des ressources humaines à la Mairie de Cotonou ont donné une conférence de presse au cours de laquelle ils ont brandit d'éventuelles sanctions à l'encontre de ces policiers. Dénonçant un trouble à l'ordre public, un acte d'insubordination, un mouvement non autorisé et injustifié, ils ont martelé que « Les policiers municipaux ont franchi le rubicond, ils subiront les rigueurs de la loi ».
On aura tout vu à la Marie de Cotonou.
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