DEVOIR DE MÉMOIRE
🇧🇯 22 août
Ce jour, nous nous proposons de vous rappeler les faits suivants:
•La bourde du Président Boni YAYI au pèlerinage marial à Dassa en 2010.
•L'audience accordée par le Président de la Cour Constitutionnelle le Prof. Théodore HOLO à un groupe de députés sur la décision relative à l'âge.
•Enfin, la rencontre entre le Président Talon et les Secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales.
En effet, cette décision laissait croire que l'âge minimum de 40 ans pour être candidat à la présidentielle devait être compris comme un âge non pas révolu mais juste entamée.
À cette occasion, le Président de la Cour a rassuré ces hôtes et contextualisé cette décision qui, selon lui, n'a absolument rien à voir avec les élections présidentielles ni avec l'article 44 de la Constitution du 11 décembre 1990.
CERICAD P.
🇧🇯 22 août
Ce jour, nous nous proposons de vous rappeler les faits suivants:
•La bourde du Président Boni YAYI au pèlerinage marial à Dassa en 2010.
•L'audience accordée par le Président de la Cour Constitutionnelle le Prof. Théodore HOLO à un groupe de députés sur la décision relative à l'âge.
•Enfin, la rencontre entre le Président Talon et les Secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales.
- Le dimanche 22 août 2010 à la cérémonie de clôture du pèlerinage marial à Dassa, le Président Thomas Boni YAYI fut invité à prendre la parole. Saisissant cette occasion, il tînt pendant une vingtaine de minutes environ un discours complètement inapproprié à une telle circonstance en taclant la classe politique. De plus, la cérémonie était retransmise en direct sur l'ORTB. Ce qui n'a pas manqué d'indigner plus d'un.
- Le 22 août 2015, le Président de la Cour Constitutionnelle a reçu en audience une délégation de députés de l'opposition. Au menu des échanges, la décision HAMES GBAGUIDI relative à l'âge.
En effet, cette décision laissait croire que l'âge minimum de 40 ans pour être candidat à la présidentielle devait être compris comme un âge non pas révolu mais juste entamée.
À cette occasion, le Président de la Cour a rassuré ces hôtes et contextualisé cette décision qui, selon lui, n'a absolument rien à voir avec les élections présidentielles ni avec l'article 44 de la Constitution du 11 décembre 1990.
- Rappelons enfin que le 22 août 2016 le Président de la République SEM Patrice TALON a rencontré les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales et leurs adjoints. Cette première rencontre depuis son élection a permis de faire l'état des lieux et de jeter de nouvelles bases de collaboration.
CERICAD P.
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